Cette page recense les méthodes d'éducation connues sur le continent afin de vous aider à établir un background cohérent pour votre personnage. Veuillez vous référer aux éducations correspondant à la caste à laquelle appartient votre personnage. Les castes ayant accès à chaque méthode d'éducation sont précisée en dessous de chacune de ces dernières.
Plus vieille institution éducative de tout le continent, l'Université de Faenza forme l'élite de chaque contrée à de nombreuses matières théoriques et pratiques.
Éducation réservée à la noblesse, haute bourgeoisie et riches alleutiers.
Unique institution d'éveil à la dotation du continent et de Septentrion, le Collège des dotés s'impose comme l'unique refuge des dotés. Au travers les cercles de praticiens qui la composent, les dotés peuvent ainsi se former à la pratique et aux limites physiques et mentales de leur capacité.
Éducation accessible à toutes castes justifiant d'une volonté d'éveil de sa dotation.
Plus grand lieu religieux jamais érigé au cœur de l'Empire de Hennequince regroupant les cultes des différentes déités. Son cœur accueille le grand collège des adjuteurs afin d'y former la relève.
Unique académie formant veneurs et giboyeurs étant chargés de connaître les caractéristiques des créatures monstrueuses sévissant en les terres ainsi que les moyens d'en venir à bout.
Éducation accessible aux alleutiers et à la roture pour ce qui est des giboyeurs, les veneurs désignant les castes plus élevées.
Épistémè, ou l’épistème pour le commun des mortels, est un ordre d’érudits basé à Farhas et présent au sein des royaumes centraux, ayant vu le jour au lendemain de l’épidémie de choléra de 486.
Éducation accessible à toutes castes justifiant d'une motivation et grande persévérance.
Grand sanctuaire permettant la vénération de chacun des cultes sans distinction. Unique lieu de culte commun aux deux religions présentes sur le continent.
Institution éducative regroupant diverses disciplines formant érudits et savants.
Éducation réservée à la noblesse, haute bourgeoisie et riches alleutiers.
La Compagnie de la griffe et du croc est un rassemblement de mercenaires employés notamment dans les diverses conquêtes en tant qu’avant-garde pour leurs nombreuses compétences dans la traque, la capture ou la chasse de créatures dangereuses.
Compagnie accueillant majoritairement la roture et quelques rares bourgeois.
Institution martiale réputée, l'Académie des Armes de Chiuggia forme la plupart des militaires du Royaume de Monteleone.
Éducation réservée aux alleutiers et aux classes supérieures.
École de courtisans au sein du palais princier de Gaçaferi, l'Institut d'Aménité forme les coquets les plus réputés du continent.
Éducation réservée aux grands bourgeois et aux classes supérieures.
Institution renommée, le Conservatoire Royal produit des élèves qui animent les cours des personnes importantes du continent.
Éducation réservée aux moyens bourgeois et aux classes supérieures.
Unique institution martiale de l'Empire de Hennequince. Principal lieu de formation des soldats de l'armée impériale.
Éducation réservée aux alleutiers et aux classes supérieures.
La Foi complétioniste repose sur une tradition orale : la transmission des croyances et des valeurs religieuses se fait par l’intermédiaire de deux piliers.
La famille joue un rôle prépondérant dans l’épanouissement et l’émancipation de la foi chez les enfants. Les enfants en bas-âge participent aux rites, mais ne sont pas considérés comme membres à part entière de la communauté des croyants, tant qu’ils n’ont pas été baptisés. Le premier rapport à la religion est avant tout un rapport familial.
Ce n’est que vers l’adolescence où les jeunes femmes et hommes suivent des cours professés par les clercs. La participation aux cours se fait sur la base du volontariat. Usuellement, les clercs laissent les adolescents libres de pratiquer la foi à la fréquence qu’ils souhaitent. Bien qu’ils soient dans certaines communautés très mal vu d’être laxiste vis-à-vis de l’éducation religieuse, la doctrine préconise une émergence naturelle du besoin de Foi chez les enfants. Néanmoins, la société jette l’opprobre sur les jeunes adultes n’ayant pas achevé leur parcours d’épanouissement religieux avec la cérémonie de la Première Onction. En effet, des enfants et jeunes adultes dissipés et peu enclins à se consacrer à leur profession de foi peuvent être jugés inaptes à entrer dans la communauté des croyants. Par ailleurs, un jeune adulte qui n’est pas baptisé est souvent considéré comme un éternel enfant incapable de s’atteler aux responsabilités, qu’elles soient familiales ou politiques.
Les précepteurs sont des personnes vendant leur enseignement de disciplines et pratiques qu’ils ont maîtrisés. La plupart des précepteurs font partie de la bourgeoisie bien qu’il existe quelques instituteurs nobles qui enseignent parmi leur classe. Les précepteurs enseignent une multitude de sujets, accordés à leurs compétences, mais ils savent en général lire, écrire et compter, et transmettent ces savoirs. Les précepteurs agissent comme de véritables mentors avec leurs élèves, s’occupant parfois d’eux en tant que gouvernants. Un précepteur est un luxe pour la plupart, ainsi, seules les familles ayant une certaine fortune peuvent se permettre d’éduquer leurs enfants d’une telle manière.
Éducation réservée aux riches alleutiers et aux classes supérieures.
Un moyen d’obtenir une éducation érudite en contournant les institutions bien trop chères et exclusives est le mentorat avec un érudit. En effet, il est possible d’apprendre un métier tel que l’apothicairerie directement auprès d’un érudit établi en échange d’une rémunération. C’est ainsi que la plupart des érudits du peuple apprennent leur métier, les prix pouvant être accessibles ou exorbitants selon le niveau des compétences du mentor. Cependant, ce genre d’éducation, n’étant évalué que par la seule appréciation dudit mentor, peut révéler des charlatans ne connaissant vraisemblablement pas assez le métier qu’ils enseignent.
Éducation réservée aux alleutiers et à la bourgeoisie.
Il est également possible d’apprendre un métier dans l’artisanat avec un mentor, semblablement à l’éducation érudite. En échange d’une somme d’argent proportionnelle au succès de l’artisan, un élève peut être confié à ce dernier pendant quelques années. Le maître artisan transmettra alors son savoir jusqu’à ce que l’élève soit bien formé et puisse entreprendre les pratiques du métier tout seul. Il est commun qu’une fois l’apprentissage achevé, l’élève rejoint l’échoppe de son mentor et y travaille avec lui.
Éducation réservée aux alleutiers et à la bourgeoisie.
Certains précepteurs s’associent avec d’autres instituteurs et fondent de petites institutions temporaires dans des locaux non dédiés à l’enseignement. Ils y enseignent généralement quelques disciplines telles que la lecture et l’écriture à de petits groupes d’élèves contre de généreuses rémunérations. Cependant, ces enseignants ont généralement d’autres occupations, rendant leurs écoles éphémères. De nombreux membres de la moyenne bourgeoisie apprennent à lire, écrire et compter dans ce genre d’établissements avant d’apprendre un métier.
Éducation réservée à la bourgeoisie.
Dans les foyers les plus pauvres, il est de coutume que les parents apprennent leur métier ainsi que les principes de base de la vie en société à leurs enfants. Ainsi, il est commun chez les serfs et les alleutiers que toute la lignée exerce le même métier. L’illettrisme est également fortement représenté dans ces castes, rares étant ceux qui savent lire plus que leur nom et ayant la pédagogie nécessaire à le transmettre. L’éducation familiale débute généralement très tôt, les parents faisant aider au foyer leurs enfants afin de les former le plus rapidement possible et d’éviter les situations de crises en cas de mort, d’accident ou de maladie.
Éducation réservée aux serfs et aux alleutiers.